900 scientifiques ont signés la pétition de dissidence au darwinisme

On entend souvent dire que les scientifiques réputés sont tous des parfaits adhérents de l’évolutionnisme et que les rares créationnistes qui ont fait des études dans le domaine de la science ne sont que des vulgaires excentriques qui essaient de manipuler les gens avec leurs idées subversives.

Pourtant, depuis 2001, quelque 900 scientifiques de haut niveau ont volontairement signés la pétition de dissidence au darwinisme du Discovery Institute. Pour être un signataire éligible, il faut détenir un doctorat dans une discipline scientifique telle que la biologie, la chimie, les mathématiques, l’ingénierie, l’informatique, ou une autre science naturelle, ou détenir un doctorat en médecine et servir comme professeur de médecine.

Le texte de la pétition est le suivant :

Nous sommes sceptiques de l’assertion selon laquelle la complexité de la vie est due à des mutations aléatoires et à la sélection naturelle. L’évidence de la théorie darwinienne devrait être scrupuleusement examinée.

Il y a une dissidence scientifique au darwinisme. Elle mérite d’être écoutée.

C’est un pavé dans la marre : il est maintenant encore plus difficile qu’avant de prétendre qu’il y a un « consensus scientifique » autour de la théorie de l’évolution, celle-ci fait l’objet d’une critique vigoureuse — c’est le cas depuis que Louis Pasteur a réfuté la génération spontanée dès 1864 — mais aujourd’hui cette critique gagne en momentum.

Parmi ces sceptiques prééminents, William A. Dembski, auteur de Uncommon Dissent : Intellectuals Who Find Darwinism Unconvincing, une collection d’essais écrits par différents penseurs et chercheurs qui expliquent, dans des termes profanes et accessibles, pourquoi ils trouvent plusieurs aspects du darwinisme non-convaincants, rejetant notamment sa dépendance à la notion de chance/hasard.

Bien sur, les scientifiques créationnistes sont moins nombreux que les scientifiques évolutionnistes : cela s’explique facilement par le fait que Darwin est enseigné comme un dogme infaillible dans toutes les écoles, dans tous les musées gouvernementaux et par tous les médias de masse. Or la validité d’une thèse ne dépend pas de sa popularité, vouloir affirmer le bien-fondé du darwinisme sur la base de sa célébrité est un sophisme d’appel à la majorité.

Évidemment, la communauté de scientifiques partisans du créationnisme et/ou de la conception intelligente ne se limite pas au millier de signataires de cette pétition de dissidence. À cause de la censure évolutionniste, il est difficile d’en évaluer le nombre de scientifiques créationnistes, la plupart de ceux-ci doivent rester discrets sinon ils risques fortement de subir une campagne de salissage, de perdre leur emploi et de voir leur carrière ruinée.

Quoi qu’il en soit, le créationnisme en milieu scientifique est loin d’être un phénomène exclusivement américain [1] :

Aux États-Unis seulement on estime le nombre des scientifiques professionnels adeptes du créationnisme biblique à plus de 10 000 (c’est un chiffre modeste). La plupart d’entre eux n’ont aucun lien officiel avec des organisations créationnistes. En 1993 en Corée du Sud, la Korea Association for Creation Research comptait déjà plus de 1000 membres. Tous, ou presque, sont au minimum titulaires d’un diplôme post-license ou d’un doctorat dans une discipline scientifique. Parmi eux, 100 occupent le poste de professeur dans une université. La Moscow Creation Science Fellowship démarra en 1993 avec 10 membres. Un an plus tard, ce nombre avait plus que décuplé. En 1994, elle comptait 120 scientifiques titulaires de diplômes supérieurs.

Comme je l’ai glissé plus haut en mentionnant Louis Pasteur, la présence de scientifiques de renom dans le camp darwino-sceptique n’est pas quelque chose de nouveau. On retrouve sur la page suivante les noms et les biographies d’environ 115 éminents scientifiques du passé qui étaient créationnistes, incluant plusieurs fondateurs de la science moderne (dont John Ray, le fondateur de la biologie moderne, et Grégor Mendel, le fondateur de la génétique) :

Scientists of the past who believed in a Creator [Creation Ministries International]

Et on retrouve sur cette page une autre liste de plusieurs centaines de scientifiques  créationnistes actuellement vivants qui possèdent au minimum un doctorat dans une discipline reliée à la science :

Scientists alive today who accept the biblical account of Creation [Creation Ministries International]

Certains de ces scientifiques travaillent pour une des grandes organisations créationnistes, d’autres travaillent de façon autonome dans des petits ministères ou des musées d’initiative locale ; la dispersion importante et l’encadrement moindre de cette seconde catégorie ne nous permet pas de statuer sur leur niveau de de professionnalisme. Cependant, pour ce qui est des grandes institutions, leur orientation rationnelle ne fait aucun doute.

Ces organisations sont sérieuses et aussi professionnelles qu’il se peut. Lorsque cela est nécessaire, elles prennent ouvertement leurs distances avec des individus créationnistes manquant de professionnalisme afin de maintenir l’intégrité scientifique créationniste, comme dans le cas Kent Hovind. La disposition des dirigeants du mouvement créationniste à mettre en ligne un inventaire d’arguments créationnistes désuets à ne pas utiliser témoigne également de l’honnêteté et de l’esprit critique de ce mouvement.

[1] Carl Wieland, Os et Roches, Creation Science Foundation, Acacia Ridge (Australie), 1994, 40 p.

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Il y a plus de créationnistes qu’on le pense

Un vaste sondage récemment effectué par la maison Angus Reid au Canada, aux États-Unis et en Grande-Bretagne nous apprend que la proportion de créationnistes en Amérique du Nord est assez considérable (clic | clic). À la question « Laquelle de ces affirmations se rapproche le plus de votre point de vue regardant l’origine et le développement des êtres humains sur la terre ? », les milliers de répondants étaient invités à répondre par les deux options suivantes :

  1. « Les êtres humains ont évolué à partir de formes de vie moins avancées au cours de millions d’années. » (réponse évolutionniste)
  2. « Dieu a créé les êtres humains dans leur forme actuelle à l’intérieur des dix mille dernières années. » (réponse créationniste)

Les résultats au Québec :

  • 17 % des Québécois adhèrent au créationnisme
  • 66 % des Québécois adhèrent à l’évolutionnisme
  • 17 % des répondants sont incertains

Donc sur une population de 7.8 millions d’habitants, cela fait environ 136 000 créationnistes au Québec, soit l’équivalent de la ville de Lévis.

Au Canada :

  • 24 % des Canadiens adhèrent au créationnisme
  • 61 % des Canadiens adhèrent à l’évolutionnisme
  • 15 % des répondants sont incertains

Un quart de la population canadienne de 34 millions individus, c’est environ 8 500 000 personnes !

Dans les Prairies canadiennes :

  • 39 % des Manitobains et des Saskatchewans adhèrent au créationnisme
  • 31 % des Albertains adhèrent au créationnisme
  • 50.5 % des répondants adhèrent à l’évolutionnisme
  • 14.5 % des répondants sont incertains

Aux États-Unis :

  • 47 % des Américains adhèrent au créationnisme
  • 35 % des Américains adhèrent à l’évolutionnisme
  • 18 % des répondants sont incertains

Un autre sondage très intéressant révèle que 78 % des Américains sont favorables à ce que les cours de biologie des écoles publiques présentent l’évidence « pour et contre » la théorie de Darwin, tandis que seulement 14 % veulent qu’on enseigne uniquement l’évidence « pour » cette théorie :

Pas surprenant que les militants évolutionnistes ont si peur de perdre leur monopole et ont si souvent une attitude antidémocratique : ils ne veulent pas que les masses aient leur foi darwiniste confrontée aux faits créationnistes. Il est temps de réclamer la science qui est hijackée par le darwinisme. Le déclin du darwinisme est par ailleurs déjà amorcé, la marche de la science est inéluctable.

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L’orthodoxie darwinienne et l’évaluation par les pairs

Il est extrêmement fréquent pour les militants darwinistes d’affirmer catégoriquement qu’aucun article remettant en question la théorie de l’évolution n’a jamais été publié dans un journal scientifique peer-reviewed (« évalué par les pairs »). En partant, formuler une telle exigence vis-à-vis de ses opposants idéologiques est intellectuellement malhonnête, c’est à la fois un sophisme d’autorité et un sophisme de popularité. De plus, la pratique du peer-review est critiquée dans les milieux académiques depuis un certain temps car elle ne fait que perpétuer les paradigmes dominants, étouffant ainsi les nouvelles idées. La communauté scientifique en est venue à assimiler peer-review avec sacralisation

Mais allons droit au but : ce mantra darwiniste est complètement faux, des centaines d’articles créationnistes ont déjà été publiés dans des journaux scientifiques peer-reviewed ! Voici une liste d’environ 150 de ces papiers, dont plusieurs sortent de presses universitaires :

Peer-Reviewed & Peer-Edited Scientific Publications Supporting ID [Discovery Institute]

On peut également mentionner la Creation Research Society qui publie une revue trimestrielle depuis 1964 dont tous les articles sont peer-reviewed par des scientifiques titulaires de doctorats. À 4 volumes par année, 4 numéros par volume et 4 articles par numéro, cela fait 752 articles à date. On trouvera les archives remontant à 1975 ici :

CSQ Quarterly – Selected Article Archives [Creation Research Society]

D’autre part, il y a la jeune revue Answers Research Journal, édité par le scientifique australien Andrew Snelling (doctorat en géologie), qui est entièrement gratuite et téléchargeable et dans laquelle sont publiés 16 articles peer-reviewed par année depuis 2008. De plus, une nouvelle revue peer-reviewed a été lancée en 2010 ; au cours des deux premiers mois ayant suivi son lancement, le volume N° 1 de Bio-Complexity a été téléchargé plus de 2000 fois.

Juste en comptabilisant ceux que j’ai recensé ici, cela fait plus de 1000 articles scientifiques créationnistes peer-reviewed. Il semble que les militants darwinistes dans leur tour d’ivoire n’en ont jamais entendu parler.

Soulignons que l’establishment évolutionniste emploie parfois les moyens forts pour empêcher la publications d’articles créationnistes peer-reviewed (vivement la liberté scientifique). Ainsi, lorsque le docteur Stephen Meyers publia un article sur l’origine de l’information biologique en 2004 dans le journal Proceedings of the Biological Society of Washington, Eugenie Scott, la directrice-exécutive du National Center for Science Education (un thing-thank faisant la promotion du darwinisme intégral), protesta vigoureusement auprès des instances étatiques et quelques temps après, le Chef d’édition du journal, Richard Sternberg, fut renvoyé.

Voici pour terminer une brève liste de quelques-unes des publications soutenant la théorie de la conception intelligente publiées par des organisations non-partisanes :

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La censure systématique des scientifiques créationnistes

Expulsé – Aucune intelligence permise est un documentaire sur l’intimidation et la censure systématique des scientifiques qui remettent en question les dogmes darwinistes par les évolutionnistes radicaux. Suggérer que le cosmos n’a pas pu apparaître de lui-même et que l’évidence scientifique pointe vers l’existence d’un concepteur intelligent extérieur à la matière est devenu un acte dangereux dans la sphère académique. L’establishment évolutionniste préfère la suppression des opinions dissidentes plutôt que le débat scientifique.

Voilà la bande-annonce :

Cette dénonciation de l’assaut contre la liberté académique a été applaudie dans le milieu conservateur. Expelled est sorti dans 1052 théâtres le 18 avril 2008, soit plus que n’importe quel autre documentaire auparavant, et a amassé plus de 2 900 000 $ lors de sa première fin de semaine, en faisant la troisième plus grande ouverture pour un documentaire de tout les temps. On peut l’écouter au complet en ligne, gratuitement :

L’article suivant répond aux critiques diffamatoires faites à l’encontre de cet excellent documentaire : « Expelled Exposed » — Exposed [Evolution News & Views]

Pour terminer ce dossier, un petit échantillon de d’autres cas de censure :

Quand on étudie de près le débat politique entourant l’adoption de curriculums scolaires balancés aux États-Unis (qui présentent objectivement les deux théories opposées), on se rend compte que la plupart du temps, c’est les avocats ultra-laïcistes de ladite American Civil Liberties Union (sic) qui saisissent le système judiciaire et qui, grâce à des juges de gauche militants, interdisent par force de loi toute approche critique de l’évolutionnisme dans le réseau scolaire public.

Or ce réseau scolaire public est financé par les taxes des Américains, et selon un sondage CBS de 2005, les Américains croient…

  • À 51 % que Dieu a créé les humains dans leur forme présente
  • À 30 % que les humains ont évolués et que Dieu a guidé le processus
  • À 15 % que les humains ont évolués et que Dieu n’a pas guidé le processus

C’est donc une minorité autoritaire constituant 15 % de la population qui contourne la démocratie et s’impose par des moyens coercitifs à la volonté du peuple en illégalisant l’enseignement neutre de la science.

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Conception intelligente et complexité irréductible

La lecture de cet article vous emporte inconsciemment dans un processus extraordinaire. Des photons de lumière, réfléchis par la page, traversent la cornée de votre oeuil. Ces petits paquets d’énergie, que le cristallin concentre sur la rétine à l’arrière de l’oeuil, déclenchent une séquence complexe de réactions chimiques au niveau des récepteurs photosensibles — bâtonnets et cônes composant la rétine — lesquels émettent à leur tour des impulsions électriques vers le cerveau. Celui-ci, appliquant un processus incompris des scientifiques, traduit ces impulsions en une image mentale.

Des scientifiques comme Michael J. Behe [profil académique / blogue sur Amazon], Michael J. Denton et William Dembski emploient le terme « complexité irréductible » pour exprimer l’argument de base à l’encontre de la théorie de l’évolution de Charles Darwin. À la page 39 de son livre L’Origine des espèces, Darwin signala lui-même un moyen de réfuter son analyse : « Si on pouvait démontrer qu’un organe complexe quelconque a existé sans qu’il ait pu s’être formé par une longue série de légères modifications, ma théorie s’effondrerait complètement. » Les scientifiques définissent une complexité irréductible comme étant « un système isolé, composé de plusieurs parties en interaction, adaptées les unes aux autres afin de participer à la fonction élémentaire de sorte que le retrait de l’une d’elles provoque l’arrêt effectif du fonctionnement de l’ensemble ».

On peut prendre la tapette à souris comme exemple de système simple, quoiqu’irréductiblement complexe. Elle ne comprend que cinq pièces et quelques fixations ; pourtant, chaque pièce doit être disponible pour que le piège opère. Elles doivent non seulement être toutes présentes, mais aussi à la dimension appropriée et à la position correcte, tout en ayant des propriétés particulières leur permettant de remplir leur fonction au sein du système : le ressort doit être capable de fermer le marteau suffisamment fort pour tuer une souris ; quant au socle, il faut qu’il soit assez rigide pour tenir le marteau en position, une fois le piège installé, etc.

Le problème de la théorie de l’évolution réside dans son incapacité à expliquer comment toutes les pièces d’un système irréductiblement complexe ont pu s’assembler d’un seul coup dans la configuration exacte nécessaire pour assurer une fonction spécifique. Si un système d’une complexité irréductible n’a pas toutes ses pièces, il ne fonctionne pas ; s’il ne fonctionne pas, il n’apporte rien à l’organisme ; dans bien des cas, sans un système opérant correctement, l’organisme ne pourrait pas survivre. Il faudrait donc que tous les composants d’un système irréductiblement complexe apparaissent au même moment. En d’autres termes, un tel système ne pourrait pas se former par « une longue série de légères modifications ». C’est précisément dans ce cas que Darwin admettait que sa théorie « s’effondrerait complètement ».

Source : Intelligence de conception [Fondation Vision]

Les systèmes irréductiblement complexes sont omniprésents dans la nature. En fait, toutes les cellules contiennent des centaines de milliers de machines moléculaires ultra-sophistiquées…

  • Tout être vivant sur terre est fait de cellules d’un centième de millimètre (au nombre de 100 trilliards en moyenne pour les humains).
  • La cellule est composée de milliers de parties minuscules travaillant ensemble harmonieusement. Sa survie dépend de l’existence simultanée de toutes ces organelles. Une telle synchronisation ne peut être le fruit d’une coïncidence.
  • À ce jour, même les laboratoires les plus sophistiqués n’ont pas réussis à produire une seule cellule vivante à partir d’une matière inerte… et des générations de scientifiques y travaillent depuis des décennies !
  • Le noyau de la cellule contient la molécule d’ADN. La moindre détail physiologique et psychologique des êtres vivants sont codés dans cette molécule.
  • Si nous tentions d’écrire toute l’information stockée dans l’ADN, il faudrait plusieurs millions de pages, plus précisément 40 fois la taille de l’Encyclopédie Britannica !
  • Cette masse considérable d’information est stockée dans un minuscule noyau d’un millième de millimètre.
  • Les calculs montrent qu’une chaine d’ADN de la taille d’une cuillère à thé aurait la capacité de compiler tous les livres & parchemins rédigés pendant tout les 5500 ans de l’histoire de l’écriture humaine.

Source : le documentaire La chute du Darwinisme.

Il est évident que cette étonnante organisation ne peut être le résultat du hasard. La théorie de l’évolution, qui défend l’idée que la vie est le résultat d’une succession d’événements fortuits, est incapable d’expliquer l’incroyable complexité de la vie. La vie est clairement la création d’une main parfaite ; et son Créateur est nécessairement un Créateur aux pouvoirs, à la connaissance et à la sagesse éternelle.

Voici une animation 3D faite par l’Université Harvard et BioVisions qui nous permet de jeter un coup d’oeuil sur la complexité inhérente d’une seule cellule dont l’être humain est fait (lien direct) :

Fred Hoyle affirma dans la revue Nature en novembre 1981 qu’« il y a autant de chances que la vie ait émergée par hasard que de chances qu’une tornade balayant un entrepôt d’un chiffonier ferrailleur assemble un Boeing 747 à partir des matériaux s’y trouvant. » Bien évidemment, même si l’on répète l’exercice des milliard de fois par jour pendant des milliards d’années durant, un Boeing 747 n’apparaitra jamais à la suite du mélange pêle-mêle de matériaux de ferraille !

Ravi Zacharias ajoute [1] :

Dans Medusa and Snail (La méduse et l’escargot), Lewis Thomas fait à propos de la structure riche en informations du gène humain le commentaire suivant : « La seule existence de cette cellule devrait constituer l’un des plus grands sujets d’étonnement de la terre. »

[…]

S’exprimant à propos de cette même cellule humaine, Chandra Wickramasinghe, professeur de mathématiques appliquées à l’Université de Cardiff au Pays de Galles, affirma que « la probabilité statistique de formation [par hasard], ne serait-ce que d’une seule enzyme, composante du gène, lui-même composante de la cellule, est de 1 sur 1 040 000 ». La traduction de ce chiffre nécessiterait davantage d’efforts pour la formation d’une enzyme qu’il n’existe d’atomes dans les étoiles de toutes les galaxies de tout l’univers connu. […] Comment l’univers, qui s’est développé à partir de rien, attribue-t-il à chaque brin d’ADN suffisamment d’informations spécifiques pouvant couvrir six cent mille pages d’informations à partir de rien ?

Ce n’est pas seulement les cellules qui sont irréductiblement complexes, les systèmes fonctionnels plus larges de nombreux êtres vivants au complet le sont aussi. La nature regorge d’exemples de créatures irréductiblement complexes. En voici quelques-uns parmi des myriades…

  1. le scarabée bombardier
  2. tous les oiseaux volants
  3. le guépard
  4. le gnou
  5. le dauphin
  6. le chameau
  7. la bécasse
  8. l’ornithorynque
  9. le green sea slug

Un exemple de conception intelligente des plus frappant est la sorte de papillons connue sous le nom de Attaclus atlas :

Vous avez sans doute remarqués que ses ailes ressemblent énormément à des têtes de serpents. Un effet tridimensionnel est même créé grâce à la disposition précise des pigments colorés. Cela lui a valu le nom de « papillon cobra ». Comment ces papillons ont-ils pu évoluer en images si parfaites de serpents sur leurs ailes par la chance aléatoire (ou même par la sélection naturelle) ? Aucun mécanisme naturel ne peut expliquer qu’un insecte reproduise sur ses ailes des images tellement parfaites d’un reptile alors que ces deux espèces sont totalement distinctes ! Ce papillon est une attestation irréfutable de l’existence d’un Dieu créateur. Croire que ces papillons ont « évolués » en photocopies ambulantes de cobras par pur hasard, c’est vraiment se mentir à soi même, se faire des illusions. Seul un facteur surnaturel peut expliquer ce miracle de la vie : une force divine intelligente qui a conçu tout l’univers.

Étant donné que ces créatures portent les marques d’une fabrication externe, on dit qu’elles sont des « conceptions intelligentes ». Nous déterminons logiquement que le Concepteur qui les a conçu doit inévitablement avoir les caractéristiques divines suivantes :

  1. il est immatériel (il est surnaturel)
  2. il est omniscient (qui sait tout)
  3. il est omnipotent (qui peut tout faire)

Bref, une entité Toute-Puissante qui est « derrière » le cosmos, ce qu’on appel en français Dieu.

Évidemment, ça prend une certaine dose de foi pour admettre l’existence d’un Être Supérieur dans l’Au-delà. Cependant, face à la quantité impressionnante d’évidence scientifique attestant son existence, y croire est tout à fait rationnel — ne pas y croire est irrationnel. En fait, je dirais qu’il faut plus de foi pour être un théiste que pour être un non-théiste.

[1] Ravi ZACHARIAS, Jésus et les autres divinités, Nîmes, Éditions Vida, 2002, pages 92-94.

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Le lien historique entre darwinisme, eugénisme et nazisme

Ce n’est pas un détail innocent que le titre complet du fameux bouquin de Darwin soit « L’Origine des espèces par le moyen de la sélection naturelle – Ou la préservation des races favorisées dans la lutte pour la vie »

Avant la Première Guerre mondiale, le mouvement eugéniste ressemblait à une affaire familiale des Darwin. Le fils de Charles Darwin, Leonard, remplaça son cousin Galton Darwin comme Président de la National Eugenics Society en 1911. La même année, une ramification de cette organisation fut formée à Cambridge ; parmi ses dirigeants étaient trois autres fils de Darwin : Horace, Francis, et George.

Référence : Dennis SEWELL, The Political Gene – How Darwin’s Ideas Changed Politics, Londres, Picador, 2009, page 54.

À ce propos, voici le documentaire Darwin’s Deadly Legacy The Chilling Impact of Charles Darwin’s Theory of Evolution qui explore l’influence idéologique majeure qu’à eu le darwinisme social sur l’hitlérisme…

Partie 1 :

Partie 2 :

Partie 3 :

Partie 4 :

Partie 5 :

Partie 6 :

Partie 7 :

On peut trouver un documentaire similaire en français ici ; et pour finir voici un bon complément d’information :

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L’âge de la terre : des milliers ou des milliards d’années ?

Imaginez le cadran d’une montre dont les 12 heures vont représenter 5 milliards d’années, le temps d’existence supposé de la terre. À zéro heures, l’apparition de la terre. 1 ½ milliard d’années plus tard, on voit apparaitre la première cellule, sur notre montre il est alors 3 heures 40 minutes. Les premiers mollusques apparaissent à 8 heures, il y a 500 millions d’années. À 11 heures vont apparaitre les dinosaures, il y a 230 millions d’années. À 11 heures 40 minutes, il y a 65 millions d’années, fin des dinosaures et apparition des petits rongeurs, qui vont supposément ouvrir la voie à l’homme. À 11 heures 55 minutes, l’Australopithèque, à 11 heures 59 minutes, le Cro-Magnon, l’homme moderne. À midi moins dix secondes est l’an zéro de notre ère. Midi, c’est aujourd’hui. Telle est la ligne du temps mise de l’avant par les évolutionnistes et religieusement acceptée & enseignée de nos jours. L’histoire humaine se résumerait à une petite minute sur douze longues heures, un laps de temps insignifiant.

Au lieu de vérifier si ces affirmations évolutionnistes sont avérées, certains catholiques tentent de réconcilier le récit biblique de la Création avec la théorie de l’évolution, portant intrinsèquement incompatibles. De leur côté, certains juifs optent pour une thèse de la relativité du temps selon laquelle l’univers serait âgé de six mille ans mais paraissait avoir des milliards d’années dans notre perspective. Ils se donnent du mal pour rien, car aucune preuve scientifique n’indique que la terre soit âgé de plus de six mille ans. C’est plutôt l’inverse.

La datation radiométrique

Différentes méthodes de datation radiométrique/radioisotopique sont utilisées par les évolutionnistes pour mesurer l’âge de différents matériaux et indirectement celle de notre planète. Étant donné que les résultats de ces datations sont habituellement de l’ordre de plusieurs centaines de milliers, millions ou milliards d’années, les évolutionnistes les utilisent pour « confirmer » que la terre est aussi vieille qu’ils le voudraient. En réalité, ces méthodes ne sont nullement inefficaces car les résultats qu’ils produisent sont terriblement inconsistants. Conséquemment, et on ne peut considérer ces résultats comme des preuves scientifiques.

L’échantillon d’exemples suivant démontre l’inconsistance de la méthode du carbone (C-14) :

À l’Université de Californie à Berkeley, un des laboratoires de datation au radiocarbone le plus avancé au monde, des coquilles de mollusques vivants furent datés à 2300 ans. Un phoque fraichement tué fut daté à 1 300 ans. Des coquilles d’escargots vivant furent datés à 27 000 ans. Une partie d’un mammouth fut daté à 29 500 ans et une autre partie du même mammouth à 44 000 ans. Une partie d’un bébé mammouth différent fut daté à 40 000 ans et une autre partie à 26 000 ans, mais le bois immédiatement autour de la carcasse fut daté à 9 500 ans. La patte arrière d’un mammouth de Fairbanks Creek fut daté à 15 380 ans, tandis que sa peau et sa chair furent datés à 21 300 ans. Deux mammouths découverts côte-à-côte à Colorado Creek firent datés respectivement à 22 850 et 16 150 ans. Des cranes d’homo erectus de Java, une espèce supposément disparue il y a 250 000 ans, furent répétitivement datés avec deux méthodes entre 53 000 et 27 000 ans (cela représente une marge d’erreur de 100 %). Une roche ramenée de la lune fut séparée en six morceaux et daté répétitivement, les âges varient entre 2.5 et 4.6 milliards d’années (encore une marge d’erreur de 100 %). Une autre roche lunaire fut datée plusieurs fois à des âges variant entre 10 000 ans et plusieurs milliards d’années. Un crane d’humain moderne fut daté à 230 millions d’années, soit en plein Triasique, ce qui est très problématique pour les évolutionnistes car selon eux l’homme moderne n’est apparu que beaucoup plus tard. Gardez en tête que ces exemples sont non-exhaustifs. Ils ne sont pas des cas isolés, mais la norme.

Puis voilà une citation du Creation Magazine (volume 30 numéro 2, printemps 2008, page 10) qui nous permet de comprendre que deux autres méthodes de datation souvent utilisées sont également non-fiables :

« Lorsque des pierres de basalte du Grand Canyon aux États-Unis furent datés il y a plusieurs années en utilisant la méthode potassium-argon (K-Ar), les âges donnés étaient d’environ 1.2 millions d’années. Toutefois, ces échantillons de basalte furent  récemment redatés en utilisant la nouvelle méthode argon-argon (Ar-Ar), les âges donnés allaient de 606 000 à 102 000 ans [marge d’erreur de mille pourcent], soit au maximum deux fois moins que les âges précédents ! Cela veut dire que toutes les datations K-Ar doivent être considérées suspectes jusqu’à ce qu’elles soient vérifiées avec la méthode Ar-Ar. Et comment les évolutionnistes peuvent-ils expliquer l’éparpillement des résultats Ar-Ar ? »

Des recherches très approfondies effectuées dernièrement ont aussi démontrés que diverses autres méthodes radiométriques (dont Rb-Sr, Sm-Nd et Pb-Pb) ne sont bonnes à absolument rien : Radiometric Dating and Old Ages in Disarray [Creation Ministries International].

Qu’en est-il des fossiles ?

Des millions d’années ne sont pas nécessaires pour qu’ils puissent se former, l’existence de fossiles ne peut donc pas servir d’objection à l’affirmation que la terre fait plus de six mille ans. Les objets peuvent se fossiliser en quelques décennies, voir moins encore si les conditions nécessaires sont présentes.

En voici des tonnes de preuves : preuve, preuve, preuve, preuve, preuve, preuve, preuve, preuve, preuve, preuvepreuve (voir Rocks forming in months), preuve (voir Fast fossils bug those long-agers), preuve (voir Making rapid rocks) et preuve (voir Rusty rock).

Les preuves scientifiques continuent de s’accumuler en faveur d’une terre jeune :

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Adam et Ève : plus qu’une allégorie symbolique

L’histoire d’Adam et Ève au Jardin d’Éden est souvent l’objet de railleries cyniques de la part des athées & agnostiques. Ceux-ci feraient bien, toutefois, de reconsidérer leurs idées pré-conçues.

La génétique de la consanguinité

Les darwinistes disent souvent que « c’est impossible que tous les humains descendent d’Adam et d’Ève uniquement car si c’était le cas nous aurions tous des malformations physiques. » Cette affirmation typique témoigne surtout de leur méconnaissance de la génétique de base. Génétiquement, il n’est pas impossible qu’un groupe restreint d’être humains soient les ancêtres de tous ceux ayant peuplé la terre [1].

Aujourd’hui, nous observons une accumulation constante du nombre de gênes défectueux autant dans les populations humaines qu’animales. En d’autres mots, l’accumulation des mutations — c’est à dire petites altérations du génome (code ADN) lorsqu’il est copié pendant la fécondation — font en sorte que nous allons génétiquement en qualité décroissante. Pour faire une analogie, un document photocopié n’est jamais aussi beau que l’original. Si on photocopiait un document en chaine un million de fois, le résultat final serait épouvantable en comparaison à l’original.

Ceci est justement compatible avec la narration biblique de l’histoire. Originalement, la Création était « très bonne » (Genèse 1:31), mais à cause de la désobéissance de l’être humain, Dieu a cessé de bénir l’humanité, enclenchant les problèmes génétiques que nous connaissons depuis la Chute (Genèse 3:6). Cela veut dire qu’Adam et Ève n’avaient pas les erreurs génétiques accumulées que nous avons aujourd’hui. Leurs génomes étaient flambant neufs, parfaits, mais au fur et à mesure que les gênes ont été transmis d’une génération à l’autre, le processus de copiage, désormais imparfait, a résulté dans des maladies héréditaires.

Par l’époque de Moïse (plus de 2000 ans après la Création), les erreurs dégénératrices ont atteint un point où il n’est pas surprenant que Dieu ait interdit le mariage entre les enfants de même parents (Lévitique 18:9) et entre demi-frères et demi-sœurs (Deutéronome 27:22). Le bassin génétique d’une famille était devenus trop « contaminé », on ne pouvait plus risquer les mariages consanguins.

Cela n’est qu’une courte explication, pour plus de documentation à ce sujet, ces liens sont un bon point de départ :

Les animaux féroces

Les évolutionnistes disent souvent que « c’est impossible qu’un lion et une brebis aient cohabités paisiblement dans le Jardin d’Éden. Logiquement, le lion aurait dévoré la brebis car il est carnivore. »

Tous les prédateurs terrestres de la planète sont en fait des omnivores, se nourrissant de viande ainsi que de plantes. Les ours se nourrissent en grande partie de baies sauvages, les herbes font partie du menu des grands félins, et même les canidés sont capables de vivre sur une diète d’herbe. Même les Tyrannosaures étaient omnivores : l’analyse de leurs gigantesques dents a révélé qu’elles sont incrustées de chlorophylle, la substance présente dans les plantes.

Additionnellement, il y a plusieurs cas où des carnivores féroces ont cohabité étroitement avec des herbivores dociles, allant même jusqu’à protéger amoureusement leurs proies potentielles !

Dans un zoo en Californie, une maman tigre a accouchée de  triplets. Suite à des complications pendant la gestation, les bébés tigres sont nés prématurément et à cause de leur petite taille, ils sont morts peu de temps après leur naissance. La santé de la mère tigre attristée a promptement commencée à décliner et les vétérinaires ont diagnostiqués une dépression causée la perte de sa portée. Les vétérinaires ont dit que si elle pourrait emprunter les petits d’une autre tigresse, sa santé s’améliorerait. Après avoir vérifié dans plusieurs zoos du pays, la mauvaise nouvelle fut qu’il n’y avait à cette heure là pas de bébés tigres du bon âge qui pourraient être introduits à la mère en deuil. Les vétérinaires ont décidés d’essayer quelque chose de spécial mais risqué à première vue : les seuls orphelins disponibles rapidement étaient une portée de cochonnets… plutôt que de devenir des morceaux de jambons, ils sont devenus des enfants adoptifs.

Considérez également ces histoires comparables en Thaïlande, en Inde, au Kenya, au Botswana, en Angleterre, et à Cuba. Clairement, le scepticisme face à cette partie du récit de la Création est totalement infondé.

La dispersion des espèces après le Déluge

Les évolutionnistes disent que « c’est impossible que les humains et les animaux aient eu le temps de repeupler la terre entière suite au Déluge global d’il y a à peine 4300 ans. » Mais mathématiquement parlant, c’est tout à fait possible. Peu après que l’humanité pré-diluvienne a péri, la famille de Noé et leurs descendants ont recommencés à se reproduire et à s’éparpiller à partir de la Mésopotamie et du Caucase.

Actuellement, la population humaine connaît une croissance constante de plus d’un pour cent l’an. S’il faut prendre en compte les épidémies, les famines et les guerres, adoptons le chiffre plus modeste de 0.5 pour cent l’an. À ce taux, il ne faut à huit personnes que 4000 à 5000 ans pour atteindre le chiffre de la population mondiale actuelle. [2] Nous pouvons affirmer avec confiance que le taux de croissance des la populations anciennes était supérieur à celui qu’on observe d’aujourd’hui dans les pays sécularisés : même si le taux de mortalité infantile, la vulnérabilité aux endémies et l’espérance de vie étaient en général moins bonnes qu’aujourd’hui, n’oublions pas qu’autrefois il n’y avait pratiquement ni contraception ni avortement.

Cette carte illustre la dispersion de l’humanité après le Déluge et la tour de Babel (cliquez pour agrandir) :

Les liens suivants expliquent plus en profondeur les grands mouvements de migration post-diluviens :

Plus précisément, pour ce qui est de la dispersion des animaux :

Références bibliographiques

[1] Carl WIELAND, Os et Roches, Acacia Ridge (Australie), Creation Science Foundation, 1994, 40 pages.

[2] Carl WIELAND, opere citato.

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Les humains et les dinosaures ont-ils coexistés ?

Il y a quelques années, j’ai regardé un documentaire évolutionniste sur Canal D ou Discovery Channel qui mettait en scène des aborigènes primitifs d’Australie aux prises avec des reptiles géants apparentés aux alligators et aux dragons de Komodo, mais beaucoup plus lourds et dangereux. Ces monstres mangeurs d’hommes — qu’il convient d’appeler dinosaures — terrorisaient les villages de chasseurs-cueilleurs. Heureusement, les humains de ce continent sont finalement parvenus à éliminer complètement cette espèce de dinosaures en incendiant méthodiquement la savane. Cette reconstitution historique, présentée par des évolutionnistes, cadre excellemment bien dans un contexte créationniste. Il est intéressants que même certains évolutionnistes n’écartent pas complètement la possibilité que des humains et des dinosaures aient vécu en même temps dans le même habitat.

En parlant de dragons, notons que ces créatures présentes dans tant de traditions culturelles à travers du monde sont une indication assez claire. Ces imposants reptiles pourvus d’écailles, de cuirasses, de cornes, et parfois d’ailes ressemblent furieusement aux reconstitutions de dinosaures et autres grands reptiles éteints. Intéressement, les chercheurs modernes ont résolu la question des jets de feu : il suffit de combiner un minéral aisément accessible dans la nature et un gaz produit par les système digestifs et respiratoires de l’animal.

Les traditions folkloriques contiennent souvent un fond de vérité. Prenons par exemple les feux-follet, ces manifestation lumineuse ayant l’apparence d’une petite flamme qu’on pouvait apercevoir, la nuit, dans les cimetières ou les marais. On les a longtemps cru appartenir au domaine de l’imaginaire, mais on sait maintenant qu’il s’agit de putréfactions gazeuses qui s’échappent du sol par des fissures et qui brulent au contact de l’air libre.

Revenons à nos dinosaures. Les preuves scientifiques et historiques attestant qu’ils ont cohabités avec les humains existent. Dans l’État américain de l’Utah, il y a des pétroglyphes de sauropodes dessinés de toute évidence par des Amérindiens, même si ces dinosaures sont supposément disparus il y a 50 millions d’années !

Dans la cathédrale de Carlise en Angleterre, il y a visiblement des dinosaures gravés sur les ornements de la tombe d’un évêque du XVe siècle, longtemps avant que la paléontologie permette d’établir l’existence de ces créatures. Les sceptiques compulsifs préfèrent croire qu’il s’agit de créatures légendaires… mais justement le folklore transporte des réalités déformées par le temps.

Plusieurs pièces d’évidence historique nous indiquent que les Amérindiens du Mexique ont vécu avec des dinosaures ; certains individus ont émis des doutes quant à la validité de ces indicateurs, une réponse à ces doutes est disponible ici (descendez jusqu’à Stony suspicions).

La preuve la plus détonante nous indiquant que les humains ont déjà vécu avec les dinosaures est la sculpture d’un stégosaure (espèce supposément disparue depuis 140 millions d’années) sur le temple médiéval de Phnom Pehn dans la jungle du Cambodge. Ce temple a été construit par la civilisation khmer entre 1181 et 1186 :

Cet animal a des plaques osseuses sur son dos, exactement comme les fossiles du stégosaure. Il est donc clair que cet herbivore habitait toujours dans les forêts d’Indochine lorsque les Khmères l’ont aperçu et en ont sculptés une très ressemblante reproduction sur un de leurs murs il y a 800 ans.

La preuve est tellement solide que les disciples de Darwin ont vraiment dû se caricaturer eux-mêmes pour défendre leur croyance. Tout ce qu’ils ont pu répondre, c’est que la reproduction n’est sont pas assez précise à leur goût ; ils ont pointés le doigt vers une différence physionomique mineures entre les stégosaures et la sculpture représentent ces mêmes stégosaures (ceux-ci on deux rangées de plaques plutôt qu’une seule), effectuant ensuite un raccourcit intellectuel pour prétendre que la sculpture ne représente « pas véritablement » un stégosaure. Or cette sculpture est de l’art primitif faits par des hommes travaillant de mémoire (ils n’avait pas de « mannequin stégosaure » posant à côté d’eux)… donc rien de plus normal qu’il y ai des petite différence. Ici, la réponse des darwinistes est plus inconcluante que jamais.

Pour vider la question, voici une demi-douzaines de raisons pour lesquelles cette sculpture de stégosaure n’a pas été forgée plus tardivement par des voyageurs européens (pardonnez l’anglais) :

  1. Patina is still obvious in the recesses.
  2. The depth of relief on the carvings that cover every square inch of this column, is more than half an inch. Removing the imagined « original » carving would have left a recessed surface. Then, carving the stegosaur on the recessed surface would require still deeper recesses. The photography clearly demonstrates that the carving is not recessed. It is flush with the other carvings. Since the plates on the back of the stegosaur protrude from the recessed background at least half an inch, it would not be possible to add them to the background by subsequent carving. The plates are an integral part of the rock surrounded by a recessed, patina covered background.
  3. There is approximately 40 feet of overburden that would have been displaced in order to replace the entire block.
  4. The blocks are held together, not with mortar, but with iron « staples » in the shape of a capital « I » typically about 8 inches long, 1.5 inches wide and 3/8 of an inch thick. An inset in the shape of the staple was carved into the surface of two adjoining blocks, across the abutment, one end in one block and the other end in the other. With the staple in the shaped recess, the next tier of blocks holds the staple in place. They are used horizontally and vertically. The blocks are interlocked in such a way that removing and replacing a block with 40 feet of overburden without detection, is an imaginary idea that could not work.
  5. It was done with a chisel, just like the rest of the wall. Most artists have a « handwriting », and this artistic style matches the rest of the pictures. It’s actually more convincing than if it had been a perfect replica.
  6. It may sound presumptuous, but I am trained in petrology. I know rocks. If someone had altered this rock, years after the original carvings, I would see it immediately. It would also be obvious to other experts who have carefully examined (and documented) this carving. I can tell you without the slightest doubt, this carving is not modern, it is contemporary with the other carvings of Ta Prohm.

L’ancienne contemporanéité des hommes et des dinosaures est donc solidement établie. Depuis la Chute, l’extinction des dinosaures — souvent provoquée par l’homme — a fait disparaître des centaines d’espèces animales, incluant les dinosaures.

Je suggère enfin la lecture de ce PDF expliquant qu’il est normal que l’on ne retrouve presque pas de fossiles d’humains et de dinosaures ensemble :

Where Are All the Human Fossils ? [Creation Ministries International]

Post Scriptum : Il faut savoir que la Bible elle-même mentionne les dinosaures à plusieurs reprises (sans les nommer par le mot « dinosaure », car ce terme n’est apparut qu’au XIXe siècle).

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Les oiseaux : un problème insurmontable pour l’évolution

Parmi les innombrables être vivants habitant sur notre planète qui sont des systèmes irréductiblement complexes, les oiseaux sont un excellent exemple. Le vol animal illustre très bien le non-sens de la théorie de l’évolution. Regardez d’abord ce graphique expliquant sommairement le fonctionnement des ailes d’oiseaux :

Nous voyons des oiseaux et des aéronefs dans le ciel chaque jour, mais nous savons qu’il  n’est pas aisé de défier la loi de la graviter en faisant voler des corps plus lourds que l’air. Il  a fallu au génie humain de nombreux siècles pour réussir à voler. Après maintes tentatives infructueuses, nous avons finalement réussis… en copiant la nature ; les ailes d’avions sont modelées sur les ailes d’oiseaux.

Les oiseaux et les avions peuvent voler grâce à la forme de leurs ailes. Puisque celles-ci ont le dessus bombé et le dessous plat, les molécules d’air qui passent par en haut ont une plus grande distance à parcourir que celles qui passent par en bas. Ainsi, lorsque un oiseau/avion s’envole ou décolle, l’air qui passe en dessous va plus vite, la conséquence de cela est qu’il y a à chaque seconde plus d’air qui passe en dessous qu’au dessus. Résultat : la pression est plus grande en-dessous qu’au-dessus, donnant aux avions/oiseaux la force nécessaire au vol, nommée portance. Les ailes d’oiseaux sont des conceptions intelligentes. Leur existence postule l’existence d’une intelligence les ayant conçues.

D’après les évolutionnistes, les ailes se sont développées toutes seules, par voie de sélection naturelle et avec une bonne dose de hasard, lentement sur des millions d’années. Évidemment, aucun animal préhistorique ne connaissait cette loi de la physique permettant de voler, donc aucun animal n’a pu prendre l’initiative de s’adapter en amorçant le processus évolutif qui permettrait éventuellement à ses descendants de voler avec leurs ailes d’une forme unique et intelligemment conçue. La sélection naturelle à elle seule ne peut pas non plus expliquer l’apparition d’ailes.

Je vais maintenant expliquer pourquoi cela n’est pas arrivé « par hasard ». Selon la théorie darwiniste, chaque évolution serait le produit d’un besoin. Cela implique qu’une une espèce de dinosaures aurait eu le besoin de voler. Pour des créatures d’emblée non-volantes, un tel « besoin » ce qui défie le bon sens.

Les animaux préhistoriques n’avaient pas plus besoin de voler que votre chien et votre chat. Si, pour une raison obscure, ils avaient essayés de voler de façon systématique, ils l’auraient fait au détriment des autres activités essentielles à leur survie, leur espèce se serait étreinte, fin de l’évolution. Même si des ailes étaient apparues peu à peu suite à la mutation imaginaire d’autres membres, elles n’auraient pas progressés en grandeur et en puissance par la suite car dès le départ.

Supposons qu’il y aurait eu une sorte de créature bipède qui utilisait ses bras avant pour se donner des élans en courant ou en sautant… cela pourrait-il générer une évolution ? Certainement pas : pour être opérationnelles — c’est-à-dire pour servir à quelque chose — les ailes doivent être complètement développées, si non elles sont un encombrement. Et tous conviendront qu’aucun animal terrestre ne peut voler seulement avec ses pattes avant.

Il y a plusieurs années, lors d’un long débat que j’ai eu avec des évolutionnistes universitaires que j’avais mis au défit de prouver l’évolution des oiseaux, un de ceux-ci m’a fourni la page web suivante, me disant qu’elle explique l’évolution des oiseaux, preuves à l’appui :

Vertebrate Flight [University of California Museum of Palentology]

J’ai donc lu toute cette page, mais je n’ai trouvé aucun élément de preuve vérifié empiriquement, seulement des hypothèses encore au stade de la spéculation. J’ai donc lu tout ce qu’il y avait sur ce sujet sur ce site (plus de six autres pages), sans trouver des réponse. Les « scientifiques » ont avancés plusieurs théories concernant l’origine du vol animal, le site en question en liste quatre. J’ai déjà expliqué pourquoi les deux premières sont impossible, et les deux dernières le sont aussi car avant de pouvoir utiliser des ailes comme objet d’attrait sexuel ou comme moyen de planer dans le vide, il faut d’abord avoir des ailes ! Or des ailes non-complètes sont inutiles, et par conséquent ne continueront pas à évoluer.

Les athées sont incapables de réconcilier l’origine du vol avec l’évolution. Leur argument fourre-tout est qu’« avec beaucoup de temps, tout est possible ». Mais une telle croyance est irrationnelle. Peu importe le nombre d’années, un mollusque ne se transformera jamais en aigle, car à chacune des étapes de son évolution imaginaire, il rencontrera une série d’obstacles insurmontables.

De la documentation supplémentaire sur Answers in Genesis :

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